Pour ajouter au caractère immersif de l’expérience de visite, plusieurs Musées ou espaces, ont choisi à l’occasion de la Nuit Blanche d’associer l’odorat à la découverte des expositions. Une mission dont s’est chargée Scentys, société experte de la diffusion sèche de parfum dans l’air.
L’art et les parfums
La Maison Impressioniste Claude Monet à Argenteuil a ainsi fait appel à Scentys dans le cadre d’un projet scénographique reconstituant le bateau-atelier ayant servi à Monet pour représenter la Seine dans plusieurs de ses œuvres. Les visiteurs peuvent s’imprégner du lieu à l’extérieur du bateau avec les effluves de la Seine, comme à l’intérieur où se mêlent les différentes odeurs de peintures.
En Martinique, la distillerie Rhum Clément propose un espace « Roue des senteurs » équipé de la technologie de diffusion sèche pour inviter les visiteurs à tester leur odorat en devinant les différentes notes qui composent les collections de la marque.
Et Villeneuve-Minervois, la Maison de la Truffe d’Occitanie plonge les visiteurs au sein d’un parcours immersif pour explorer l’histoire de la truffe au fil des siècles. Scentys retranscrit les notes olfactives propres à chaque variété de truffe.
Une recharge de capsules de parfum en matière biosourcée
La technologie Scentys repose sur la diffusion sèche du parfum encapsulé dans des billes disposées dans un support recharge. Cette capsule jusqu’alors conçue en polypropylène recyclé est aujourd’hui disponible en matière biosourcée, un polyamide composé d’ingrédients 100% d’origine naturelle, minérale et végétale.
Le challenge de développement était pour la marque de préserver les propriétés mécaniques de la matière et de conserver la même restitution olfactive tout en assurant la bonne compatibilité avec les parfums. L’autre défi technique fut de trouver au niveau du process d’injection une matière qui se devait compatible avec les moules existants.
Fabriquée en France, cette alternative 100% d’origine naturelle sera à disposition des marques de parfums partenaires de Scentys.
